Consommation
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Les consommateurs peuvent-ils décoder les étiquettes ?
Selon la réglementation en vigueur, les additifs doivent apparaître dans la liste des ingrédients, classés par ordre décroissant d’importance pondérale. L’étiquette doit indiquer la catégorie de l’additif et préciser soit son nom (ex. : NHDC), soit son numéro européen (ex. : E 959), soit la dénomination usuelle (ex. : Neohesperidine-dihydrochalcone)... En pratique, ces mentions éclairent rarement les consommateurs. Comme en témoignent les résultats d’une enquête TNS-Sofres d’avril 2006, le niveau de connaissance des substituts du sucre se révèle très faible, soit aux antipodes du taux de notoriété du sucre qui est de 99,6 % !
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Soja : la consommation devrait doubler en quatre ans
La consommation de boissons au soja dans toute l’Europe de l’Ouest, l’Amérique du Nord et le Japon a augmenté de 12 % en 2006 à 1,16 milliards de litres avec un chiffre d’affaires de 3,34 milliards d’euros, selon le rapport de juillet 2007 « boissons de soja » de Zenith International.
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Une belle moisson de candidats
Le succès du bio se mesure aussi au volume de courrier reçu par les services RH. Didier Perreol, P-DG d’Euronat, une PME située en Ardèche, fabricant de produits alimentaires et d’hygiène, assure recevoir 4 ou 5 candidatures spontanées par jour. Considérable pour une entreprise d’à peine 200 personnes. « Des CV de bon niveau, de jeunes qui partagent nos valeurs, avec de beaux diplômes et souvent une première expérience », se réjouit-il.